Créer un mouvement
Les gens ne se donnent pas la permission de canaliser et d’exprimer les émotions qui doivent circuler dans leur corps. Cette constipation émotionnelle a un effet aggravant.
Quand nous étions enfants, on nous disait d’arrêter de pleurer, de nous taire, de rester assis et de nous taire. Lorsque nous exprimions nos émotions, on nous disait d’arrêter de pleurer. Des années de ce comportement nous conduisent à étouffer l’expression naturelle, et avec le temps, nous nous déconnectons de notre véritable moi.
Vous devez être prêt à vivre votre vie ! Cela commence par être assez courageux pour ressentir. Avez-vous déjà remarqué que lorsque les gens dans votre vie deviennent déprimés, ils restent au lit à regarder des films ou la télévision sans fin. Pourquoi ? Eh bien, ils ont secrètement besoin de l’expression émotionnelle dont ils sont témoins chez les autres.
Créez du mouvement dans votre vie en faisant de l’exercice, en partant à l’aventure ou simplement en mélangeant la monotonie de votre vie quotidienne.
Entrez dans votre douleur plutôt que d’essayer de vous en échapper
Oui, je sais que cela semble contre-intuitif, n’est-ce pas ? Mais il s’agit d’une étape très importante pour libérer l’énergie qui se trouve en vous. Lorsque nous sommes préoccupés par l’idée de nous échapper, de réprimer et d’éviter notre douleur, nous participons au cycle de notre propre souffrance. Ne cédez pas à la tentation, ne courez pas, arrêtez-vous et restez tranquille. Asseyez-vous et laissez-vous aller à la fatigue, à la confusion, à la colère, à la perte et à la douleur. Car ce n’est que lorsque vous faites face à la douleur que vous ressentez que vous pouvez passer à l’étape suivante, celle de l’abandon de la souffrance.
Méditez sur la gratitude
Méditez sur la gratitude chaque jour, faites-le pendant au moins 20 minutes. Cela permettra de libérer des hormones de bien-être qui contrebalancent les hormones de stress auxquelles notre corps est dépendant.
Arrêtez d’essayer de « réparer » les autres
Répétez après moi : « Je n’ai pas besoin de régler les problèmes des autres ». Voilà, c’était facile, n’est-ce pas ? Plus facile à dire qu’à faire ? En tant qu’empathique, je sais ce que c’est que d’avoir besoin de régler les problèmes des autres. En faisant cela, nous nous créons souvent de gros problèmes.
Lorsque vous vous dites que vous allez réparer quelqu’un d’autre, vous vous permettez de devenir une éponge et vous cherchez inconsciemment à lui enlever sa négativité et à la mettre sur vos propres épaules. Comme il vous est impossible d’enlever la douleur de cette personne, vous finirez seulement par la partager avec elle et lorsque vous la quitterez, vous vous sentirez épuisé, d’humeur bleue et lourd.