Parfois, j’ai perdu un amour en le cachant.
J’ai déjà tenu les mains de quelqu’un par peur !
Parfois, j’ai eu tellement peur que je ne sentais plus mes mains.
Parfois, je laisse les gens que j’aimais sortir de ma vie.
Parfois, je l’ai regretté,
Parfois, je pleurais pour m’endormir cette nuit-là.
Parfois, j’étais si heureuse que je ne pouvais pas fermer les yeux.
Parfois, je croyais en l’amour parfait.
Seulement pour découvrir qu’il n’existe pas.
Parfois, j’ai aimé des gens qui m’ont laissé tomber.
J’ai parfois déçu des personnes qui m’aimaient.
Parfois, j’ai passé des heures devant le miroir à essayer de comprendre qui je suis, et j’étais si sûr de moi que je voulais disparaître.
Parfois, j’ai menti puis je me suis blâmé, parfois j’ai dit la vérité puis je me suis blâmé aussi.
Parfois, je faisais semblant de me moquer des gens que j’aimais, puis je pleurais en silence dans mon coin.
Parfois, je souriais avec tristesse et pleurais parce que j’avais tellement ri.
Parfois, je croyais en des gens qui n’en valaient pas la peine, et j’ai cessé de croire en ceux qui en valaient la peine.
Parfois, j’ai eu des crises de rire alors que je n’aurais pas dû.
Parfois, je cassais des assiettes, des verres et des vases dans un accès de rage.
J’ai raté quelqu’un sans jamais le lui dire.
Parfois, je criais quand j’aurais dû me taire, quand j’aurais dû crier, quand j’aurais dû hurler
Souvent, je n’ai pas dit ce que je pensais pour faire plaisir à certains, d’autres fois, j’ai dit ce que je ne voulais pas faire souffrir les autres.
Parfois, j’ai fait semblant d’être ce que je ne suis pas pour plaire à certains, et d’autres fois, j’ai fait semblant d’être ce que je ne suis pas pour déplaire à d’autres.
Parfois, je raconte des blagues stupides encore et encore juste pour voir un ami heureux !
Parfois, j’ai inventé des fins heureuses pour des histoires, juste pour donner de l’espoir à quelqu’un qui n’en avait pas.
Parfois, je rêvais trop, au point de confondre le sommeil avec la réalité.
Parfois j’avais peur du noir, aujourd’hui dans le noir « je me trouve, je m’accroupis, je reste là ».
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