Quand nous nous sommes séparés, j’ai senti le monde entier s’écrouler sous mes pieds.
J’avais l’impression d’avoir perdu une grande partie de moi-même… Perdu avec lui.
La nuit, je me suis allongée dans mon lit en pensant à lui et je me suis demandée où il était et s’il avait rencontré quelqu’un d’autre.
D’autres fois, quand je me sentais coupable, je pensais à toutes les erreurs que j’avais faites.
Tous les cadeaux qu’il m’a donnés et tout ce qu’il me reste de lui sont là, dans ma chambre, en sécurité. Je n’ai jamais rien jeté.
Le pull qu’il m’a donné sent toujours comme lui, et je dors toujours dans un pull qu’il a laissé à la maison.
Nous avons rompu il y a quatre ans, mais je peux encore sentir sa présence.
Dans ces années-là, je sortais avec d’autres gars et nous nous sommes rencontrés dans un endroit qui était « nous ».
Mais je n’ai jamais ressenti ce que j’ai ressenti avec lui. Il manquait toujours quelque chose.
Même certains plats me faisaient penser à lui parce que c’est lui qui me les avait présentés.
Et quand je bois du vin, je pense aussi à lui quand c’est son vin préféré.
Tout me le rappelle, chaque coin de mon appartement, chaque endroit de cette ville.
Plus le temps passe, moins on parle de lui. Ils ne me demandent plus si je sais ce qu’il fait ou où il se trouve.
C’est comme s’ils l’avaient oublié, mais je ne l’ai jamais oublié. Il a toujours vécu dans mon esprit, où qu’il soit et quoi qu’il fasse.
Le moment le plus difficile a été quand c’était mon anniversaire et que c’était son anniversaire. C’était douloureux de célébrer mes anniversaires sans lui.
C’était difficile de rire et de faire semblant d’être heureux sans pouvoir entendre son « Joyeux anniversaire, ma chérie ».
À chaque anniversaire, j’ai essayé de résister à l’envie de l’appeler et d’entendre sa voix.
J’ai essayé de résister à l’envie de lui écrire parce que j’avais peur que je ne lui manque pas du tout, qu’il m’ait oublié.
Toutes nos photos sur les réseaux sociaux avaient été supprimées.
Il n’y avait plus de preuves que c’était le mien. Que j’étais à lui. Que nous étions heureux ensemble. Que mon cœur lui appartenait encore.
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