Je ne serai jamais une de ces personnes qui se conforment à la norme.
Je préfère me retirer dans un hamac sur la plage pendant six mois et mettre ma plume au travail.
Je préfère avoir le travail que j’aime et lutter parfois pour payer les factures plutôt que d’aller travailler tous les jours avec un arriéré.
Je préfère avoir des moments dans lesquels je m’investis.
Je préfère être dehors, marcher sur une route non pavée, regarder la pleine lune.
Je ne veux pas avoir d’enfants parce que la société l’exige, je veux les avoir quand je les veux.
Je préfère manger seul que de m’asseoir avec des gens inintéressants.
Je préfère voir le clair de lune seul que d’aller dans les bars.
Je préfère apprendre de la vie que d’accumuler une montagne de dettes dans un bureau.
Je préfère que mon amour soit défini par l’amour lui-même, ni plus ni moins.
Je n’ai pas besoin d’une bague à mon doigt pour prouver que je suis amoureux.
Je préfère faire du vélo plutôt que de dépenser inutilement de l’argent et de m’enfermer dans des endroits qui créent des murs et m’isolent de la vie sociale.
Je n’ai pas besoin d’un diplôme universitaire pour prouver que je suis intelligent.
Je n’ai pas besoin de posséder un terrain avec quelques morceaux de bois pour réussir. Personne ne possède vraiment quoi que ce soit, mais nous pensons qu’ils le font.
Mon compte d’épargne n’a rien à voir avec ma valeur nette.
Je ne travaillerai pas sans relâche pour vivre seulement lorsque mon corps sera vieux et fatigué.
Personne ne devrait avoir d’enfants en fonction d’un certain idéal, car celui-ci n’a pas de date d’expiration.
Si nous devons fixer des étapes, la mienne sera mesurée par la quantité de joie et de bonheur que je récolte à la fin de chaque journée, et par le nombre de fois dans cette vie où j’ai vraiment et profondément ouvert mon cœur.