Pourquoi j’adore avoir un tout-petit

La croissance extraordinaire des tout-petits est indéniable ! Découvrez-en plus à ce sujet et sur les nombreux autres avantages d’avoir un tout-petit.

Tout-petit. Nous entendons souvent parler de ces petits humains en pleine croissance, petits mais grandissant beaucoup trop vite, dans le contexte des « terribles deux ans » et des « années de threenager ». Certes, les enfants de un à trois ans sont réputés pour donner du fil à retordre à leurs parents. Pourtant, nous ne devrions pas négliger les nombreuses choses merveilleuses de cette étape.

Ma fille de deux ans met constamment un sourire sur mon visage simplement en étant elle-même audacieuse, douce, indéniablement unique, et je ne peux m’empêcher de me sentir chanceuse dans ce chapitre de notre histoire. En un mot, j’adore avoir un tout-petit. Ci-dessous, quelques-unes des innombrables raisons pour lesquelles je trouve ces années si spéciales.

Les tout-petits évoluent constamment

Alors que chaque étape de l’éducation des enfants passe en un éclair, la croissance remarquable de la petite enfance est distincte et sans égale. Je me souviens vivement de ma fille (qui rampait encore et se tenait aux meubles à l’époque) sautillant fièrement avec ses chaussures violettes pailletées qui couinaient le jour de son premier anniversaire, s’accrochant au rebord de la fenêtre de la salle de jeux pour se soutenir. À peine plus d’un an plus tard, elle escalade maintenant avec audace les équipements d’escalade les plus élevés de notre aire de jeux intérieure préférée. Les tout-petits ne ralentissent pas ; ils s’assurent que nous en soyons bien conscients au quotidien.

La communication explose pendant les années de tout-petit

Pendant les années de tout-petit, l’évolution constante ne se limite pas aux étapes physiques et aux compétences motrices globales. Au cours de la dernière année, ma fille est passée de quelques mots à des conversations entières avec jusqu’à 10 mots dans une phrase, une multitude de questions et un réel intérêt pour l’échange de pensées. Bien sûr, les jours de babillage étaient amusants, mais il est incroyable d’avoir une véritable discussion avec ma petite humaine. Elle peut partager exactement ce qui lui passe par la tête et ne laisse personne deviner quand il s’agit de savoir ce qu’elle veut. De plus, pouvons-nous reconnaître à quel point il est ridiculement adorable d’entendre la vérité (et rien que la vérité) à travers la voix la plus innocente mais sûre d’elle que vous ayez jamais entendue ?

Les tout-petits sont influençables

Pour le meilleur ou pour le pire, les tout-petits absorbent tout autour d’eux. Lors d’une récente conversation pendant le dîner avec mon mari, j’ai mentionné que notre fille est vraiment ma mini-moi à bien des égards. À quoi il a répondu en plaisantant : « Dieu nous aide ! » Sans perdre une seconde, notre tout-petit toujours à l’écoute, absorbant tout, a déclaré : « Dieu nous aide ! » en retour, sourire en coin compris. Bien que nous ayons tous ri, ce moment léger m’a rappelé la puissance des mots, des actions et des comportements auxquels nous exposons nos tout-petits. Ils sont des éponges. Et même si l’idée de jouer un rôle aussi important à ce stade est légèrement intimidante, c’est une opportunité que je suis reconnaissante d’avoir.

L’amour pur et authentique que les tout-petits donnent est inégalé

Ma fille de deux ans est peut-être jeune, mais elle est sage là où cela compte le plus, c’est-à-dire dans les affaires du cœur. Même quand je me réprimande silencieusement à la fin de n’importe quel jour donné pour ne pas être aussi patiente, compréhensive ou pleine de grâce que je le voudrais en tant que maman, ma fille aime à voix haute et sans condition. Rien au monde n’est aussi vivifiant qu’un « Je t’aime, maman » spontané, accompagné de deux petits bras tendus et prêts pour « encore un dernier » câlin au moment des lumières éteintes. Ou la vue de ces bras de tout-petit grands ouverts embrassant avec enthousiasme son petit frère à peine plus petit dès le matin. Ou à peu près n’importe quel autre bébé qu’elle peut attraper, où que nous soyons. L’amour sans excuse que les tout-petits ont à offrir est incroyablement attachant et peut nous enseigner à tous une chose ou deux sur la gentillesse et l’acceptation.

Les tout-petits nous tiennent en haleine

Tout parent expérimenté le sait. Bien que nous puissions souhaiter – parfois – même une once de leur énergie, il n’y a jamais un moment ennuyeux avec un tout-petit. Certaines des récentes aventures pluvieuses de ma fille comprennent d’éviter de justesse de plonger le visage le premier sur le plancher de bois franc après une séance de saut impromptue sur le canapé (une véritable fête) ; dessiner un chef-d’œuvre d’un pied de long sur le mur de notre cuisine avec un crayon bleu vif (je ne suis toujours pas sûre de quand exactement elle a réussi cela) ; et tenter de lancer mon bébé de six mois dans l’espace depuis son sauteur. Elle ne me laisse pas me relâcher un instant, et ça ne me dérange pas. Ces jours sauvages et fous où je sens presque mes cheveux blonds virer au gris ne dureront pas éternellement. Et vous savez quoi ? Je sais que je regarderai en arrière un jour et me souviendrai de tout cela avec un sourire sur le visage.

Tout est magique à travers les yeux d’un tout-petit

Les vacances. Les anniversaires. La première neige. Des crêpes pour le petit déjeuner (avec des fraises et de la crème fouettée, bien sûr). Les voyages à la plage. Un oiseau bleu dans l’arbre. Les histoires du coucher que nous avons lues cent fois auparavant. Les FaceTimes en milieu de journée avec les cousins. Les après-midis au zoo. Les cornets de glace juste parce que. Tout cela et bien plus encore. Il n’en faut pas beaucoup pour rendre les tout-petits heureux. Ils sont parfaitement satisfaits – non, carrément ravis – des choses simples de la vie. La vie avec un tout-petit est une magie pure.

Les années de tout-petit sont remplies de toutes choses : croissance et épreuves, câlins et rires, ecchymoses et bosses. Certains jours semblent chaotiques. Mais je sais que je n’échangerais pas cette phase pour rien au monde. J’adore absolument avoir un tout-petit. Et ces moments vont beaucoup me manquer un jour.

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