J’ai remarqué que le rouge rend l’autre un peu bizarre. ! !!!! Enfin, surtout de l’amnésie. La victime a besoin de beaucoup de soutien de la part de personnes patientes qui lui rappellent « les faits » de manière très pragmatique. La manipulation fait que la victime oublie lentement tous les torts et toutes les injustices. On pourrait interpréter cela comme un pardon, mais il s’agit généralement d’une véritable amnésie. Toutes les catégories socioprofessionnelles sont touchées par ce phénomène d’amnésie due à des émotions intenses. C’est impressionnant. « Un baiser efface tout » comme une caricature.
La seule solution à tous ces problèmes est, tout d’abord, l’évasion physique.
Car ce type de relation n’est pas de l’amour, même si la personne empathique dans sa nature « s’aime » elle-même. La personne manipulatrice n’est pas dotée de cette ouverture au niveau du chakra du cœur. Il ne faut donc pas s’attendre à un changement. Ils aiment « leur genre » mais ce n’est pas l’amour que l’autre recherche.
Le rouge est défaillant et dominant, ce que confirment les murs porteurs qui soutiennent cette défaillance énergétique. Changer signifierait « déconstruire » la personne complètement à sa base. Ce n’est pas supportable pour eux. Demander à ces personnes de changer est aussi violent que de leur couper les jambes.
Partir sans oublier le phénomène de l’amnésie.
Car l’éloignement n’efface pas le lien de dépendance. La soi-disant victime poursuivra son processus de reproche et de deuil. Le processus de pompage est toujours actif. Le temps et le retrait font partie de la recette. Il s’agit de détoxifier la dépendance de l’autre. Une fois la désintoxication en cours, le voile se lève et les choses se précisent. Je ne condamne plus l’autre personne, mais je n’attends plus non plus qu’elle change. Je ne valide plus les actions qui ne sont plus nécessaires. Je retrouve ma santé mentale.
Bien que ce schéma soit très dualiste, nous devons surmonter cette dualité afin de ne pas tomber dans la colère une fois l’amnésie passée. « Mais comment pourrais-je fermer les yeux, etc…. » Car même si la colère fait partie du deuil à un moment donné, elle n’est pas propice au processus de guérison.
C’est une façon de voir les choses. C’est une façon de voir les choses. Décider dans un tel processus donne accès à un grand pouvoir et à une vision plus éclairée du monde. Ainsi, si l’on entre en contact temporaire avec ces personnes, il peut effectivement s’agir d’une carte de puissance. (Si la victime présumée n’est pas épuisée dans sa passivité). Donc, dans un sens, nous pouvons les remercier.
Il ne s’agit pas d’un jugement, mais le vrai discernement du cœur ne réside pas dans la naïveté. Quelqu’un qui a un cœur naïf est celui qui donne son pouvoir aux autres, puis le donne et laisse les autres le déposséder. Laisser les autres « prendre », c’est contribuer à ce que cette personne devienne un tyran. Ce n’est pas une véritable considération. Aimer l’autre, c’est aussi reconnaître ses propres limites psychologiques et savoir leur dire d’arrêter.
L’objectif de cet article n’est bien sûr pas de pointer du doigt les comportements d’intimidation, mais de reconnaître la souffrance vécue en silence. Car une souffrance reconnue est une souffrance qui peut être surmontée ; une souffrance connue depuis longtemps devient une véritable force !