Depuis un certain temps, on s’interroge sur les avantages ou les dangers potentiels du jeûne. D’une part, les partisans du jeûne soulignent les nombreux avantages qu’ils garantissent. Il s’agit notamment de faire progresser la réduction du poids, de normaliser l’affectabilité de l’insuline, de faire baisser les niveaux de triglycérides dans l’organisme et d’atténuer les indications de maturation. Il existe divers « plans de jeûne », allant du jeûne irrégulier, qui dure généralement de 14 à 18 heures, aux plans à plus long terme, qui consistent à renoncer à une alimentation forte pendant 2 à 3 jours. Chacun d’entre eux présente ses propres avantages et difficultés, offrant des choix à chacun.
De nombreux nutritionnistes et experts thérapeutiques affirment que le jeûne n’est qu’un schéma non étayé, et qu’il s’accompagne de divers dangers pour le bien-être qui doivent être pris en considération. Ils soulignent la perte de suppléments pendant la période de jeûne, car elle limite l’admission d’aliments malheureux ainsi que de ceux dont notre corps a besoin, notamment les produits naturels, les légumes, les protéines fines et les graisses saines. En outre, ils affirment que le jeûne incite régulièrement à se remettre à manger, ce qui entraîne une prise de poids générale au lieu de la réduction de poids recherchée.
Une nouvelle recherche de l’université de Californie du Sud fait une révélation fascinante, en portant la discussion à la pointe du progrès. Le groupe a réuni des membres et leur a demandé, dans les étapes sous-jacentes, de faire des petits pas de 2 à 4 jours tout le temps sur une durée de 6 mois. Pendant cette période, ils ont constaté des changements stupéfiants. Les membres ont constaté un déclin perceptible dans la génération de la substance chimique PKA, une hormone qui a été liée à un danger accru de maladie et de développement de tumeurs. De plus, la sécurité des membres semble avoir été totalement améliorée.
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