Tout au long de notre vie, nous apprenons et grandissons, et il en va de même pour nos amis. Il est important que nous nous entourions d’amis qui nous soutiennent pour continuer à développer ce que nous faisons le mieux. Nous n’avons pas besoin de soutien là où nous étions autrefois, mais là où nous sommes maintenant et où nous allons. En raison des changements que nous opérons, il est peut-être temps de revoir nos amitiés et de déterminer celles qui continuent à nous servir.
Voici 4 types d' »amis » dont vous n’avez pas besoin dans votre vie :
1 – Le plaignant
C’est épuisant de vivre dans un monde où il y a toujours quelqu’un qui se plaint. Il y a toujours quelque chose qui ne va pas, qui n’est pas à sa place ou qui ne correspond pas à des normes inatteignables. Si nous passons trop de temps avec une personne qui se plaint, il est facile pour nous de commencer à nous plaindre nous-mêmes.
Une étude récente sur les colocataires universitaires a révélé que les étudiants qui avaient commencé l’année avec une attitude positive développaient des schémas de pensée plus négatifs au cours de l’année scolaire lorsqu’ils vivaient avec un colocataire négatif.
Le problème quand on a des râleurs chroniques dans sa vie, c’est que l’on ne peut rien faire pour les aider à reconnaître le problème. Ils ont tendance à ne pas se considérer comme des râleurs et à résister aux renforcements positifs ou aux conseils. Le plaignant chronique est plus heureux lorsque le verre est vide.
2 – Le pessimiste
Les pessimistes sont partout autour de nous. Que ce soit avec ses connaissances, ses amis ou même sa famille, le négatif vit dans un état constant de « non » ou « non ». Quelle que soit la proposition, l’idée ou l’objectif, les opposants répondent automatiquement par un « non » et une liste de raisons.
La difficulté est de savoir qui est un opposant et qui a nos intérêts à cœur. La première étape consiste à prendre conscience de l’existence du « syndrome des rabat-joie ».
Le syndrome du rabat-joie consiste à exprimer ses propres craintes au lieu de se préoccuper véritablement de l’autre et de sa situation. Une fois que nous savons qu’elle existe, nous pouvons identifier ceux qui, autour de nous, ont besoin d’aide.
Les pessimistes ont simplement peur. Ils ne comprennent pas comment nous faisons ce que nous faisons parce qu’ils ont trop peur de prendre des risques. Si vous passez trop de temps avec des opposants, vous souffrirez bientôt vous-même du syndrome de l’opposant.
3 – Le douteur
Le douteur est encore plus dangereux que le négationniste, car il semble nous soutenir, mais sape nos efforts en soulevant des doutes sur notre capacité à relever le défi.
La principale cause des revers, des échecs ou des abandons est le doute. Nous commençons un projet avec la conviction que nous pouvons le faire, que nous aurons beaucoup de succès, et que si nous ne pouvons pas faire quelque chose, nous trouverons une solution.
Les sceptiques sont à l’affût des erreurs et sont prompts à souligner ce qui n’a pas marché et pourquoi il vaut mieux abandonner. Ce qui est dangereux, c’est qu’ils le font d’une manière qui semble nous soutenir, mais qui en réalité attaque notre caractère, notre dynamisme et notre ambition.
Gardez les sceptiques à distance et entourez-vous d’amis qui croient en vous plus que vous ne croyez en vous-même.
4 – Le vantard
Nous n’aimons pas nous vanter de manière excessive, mais lorsque nous sommes fiers d’une réalisation, nous la partageons volontiers avec nos amis. Il est normal de partager occasionnellement ses succès personnels, mais lorsque cela devient extrême, cela peut mettre à mal la relation.
Le besoin constant de se vanter est souvent un signe de faible estime de soi. S’il est nécessaire de soutenir nos amis, nous ne pouvons pas accorder l’attention dont le fanfaron a besoin pour se sentir digne de notre amitié. Ils doivent le trouver en eux-mêmes.
Notre rôle d’amis est de les aider en les soutenant, mais pas en les rassurant constamment. Si vous vous surprenez à accorder trop d’attention aux réalisations des autres plutôt qu’aux vôtres, il est peut-être temps de vous débarrasser du vantard.