Je retiens mes larmes en disant au revoir pour le moment. Mon coeur me fait souffrir de vide dès que je sors de la porte. Je veux crier ou déchirer mes cheveux alors que la solitude s’installe.
Je ne veux pas avoir ce sentiment envers toi… mais je le ressens quand même.
C’est difficile de t’aimer tellement que ça me fait mal, surtout quand je dois te quitter. J’ai essayé si fort de combattre ces sentiments, d’en faire autant et de nous détacher. Pourtant, pour une raison quelconque, je ne pourrai jamais briser la chaîne qui nous unit.
Je lutte contre la rage qui se crée lorsque je me sens comme le deuxième meilleur. La jalousie me consume lorsque vous m’évitez ou cherchez du réconfort chez quelqu’un d’autre. Je veux disparaître et oublier que je t’ai déjà rencontré au moment de l’abandon.
Je ne veux pas avoir ce sentiment-là… mais je le ressens quand même.
C’est tellement difficile de s’inquiéter tellement que je vais traverser le feu, surtout quand une voix à l’intérieur me dit que vous ne ressentez pas la même chose. J’ai essayé si fort d’éteindre mon cerveau, de me distraire et même de me calmer. Quoi qu’il en soit, je ne peux jamais trouver la voix de la raison ou déchiffrer un grain de vérité.
Mon corps commence à picoter. Je ferme les yeux et disparais. Vous dites que nous serons toujours proches, mais aujourd’hui vous vous sentez si loin.
Je ne veux pas ressentir cela aujourd’hui… mais je le ressens quand même.
Il est difficile de rester présent dans un moment, surtout un moment douloureux et terrifiant. J’ai essayé si fort de rester avec vous pour voir si vous m’aimeriez à travers la vérité. Pourtant, personne ne le fera jamais et je ne peux donc pas rester.
Je ne veux pas aimer, je ne veux pas non plus détester. Je ne veux pas vivre, mais je n’ai pas le courage de mourir. Je me sens pris au piège à l’intérieur de mon corps, mais comme le monde m’épingle aussi. Juste pour cette fois, je veux que le monde tel qu’il s’arrête, le monde dans lequel je suis malade mentalement. Je ne pense pas pouvoir survivre à la tempête une semaine ou même un autre jour. Ceci est mon cri silencieux pour que quelqu’un me sauve, jette la ligne de sauvetage avant que je me noie.
Je ne veux plus jamais ressentir cela de la sorte envers quiconque… mais je le ressens tous les jours.