L’étude de l’interaction extrasensorielle nécessitait un deuxième cerveau humain au niveau du récepteur.
Les participants qui ont réussi à transmettre les deux mots avaient entre 28 et 50 ans. Un sujet était responsable du bras de l’interface cerveau-ordinateur (ICN) et était l’émetteur des mots sélectionnés pour l’étude, et les trois autres étaient chargés de recevoir le message par l’intermédiaire de l’interface cerveau-ordinateur en surveillant leurs ondes cérébrales.
Bien que les schémas génétiques EEG aient dû être traduits à partir d’un code binaire, les mots « hola » et « hello » ont été traduits correctement et envoyés de France à l’expéditeur en Inde par un e-mail de confirmation.
Lors de l’envoi des messages, les sujets ont ressenti des stimuli cérébraux tels que les phosphènes, qui sont des éclairs de lumière se produisant dans la vision périphérique comme une sorte de code Morse – l’un après l’autre.
Cela confirme les conclusions selon lesquelles les gens savent qu’un être cher est décédé, même s’il se trouve à des milliers de kilomètres, ainsi que d’autres phénomènes étranges qui semblent exister au sein des barrières spatio-temporelles que nous avons acceptées comme limites à la communication entre humains.
Peut-être pourrons-nous bientôt jeter nos téléphones portables si nous apprenons à « parler » directement à nos récepteurs, simplement en utilisant notre esprit.