Chère presque,
En faisant ma promenade habituelle du dimanche matin dans les bois, je pense à vous et à l’image du beau paysage que je vous aurais envoyée. Vous m’auriez probablement envoyé un mème et nous aurions fait des plans pour nous voir cette nuit-là ou le jour suivant. Mais je ne peux pas parce que cela fait un mois que nous ne nous sommes pas parlés, que tu m’as fait un fantôme.
Nous nous sommes rencontrés de la manière la plus inattendue en août, et tu es la première personne que j’ai laissé entrer dans ma vie après un an de célibat. Tu m’as invitée à manger une glace pour notre premier rendez-vous, et aussi mignon, drôle et gentil que tu aies été, ça n’a pas marché pour moi. Mais tu m’as quand même envoyé un texto, et nous avons fini par nous voir deux fois par semaine pendant un mois et je me suis attaché à toi. Tu es la première personne en un an qui m’a envoyé un texto, pas à 2 heures du matin, ivre, pour me dire qu’ils voulaient me voir. Tu étais la première personne en un an, à l’exception de mes amis, à m’envoyer un texto tous les jours. Tu as été la première personne en un an qui m’a donné un aperçu du début d’une relation. Je me suis attaché à toi. J’étais comme un alcoolique en convalescence à qui l’on a donné une coupe de champagne pour la première fois ; j’ai oublié la sensation d’euphorie que l’on ressent quand on commence à voir quelqu’un.
Tu étais célibataire depuis peu et tu étais très honnête sur ton désir de prendre du temps pour toi. Je pensais être d’accord avec cela, mais ce n’était pas le cas. Après un mois de rendez-vous, je voulais les SMS de bonjour, les baisers sur le front, les dîners de famille, tout le paquet, mais tu n’étais pas prête, ou peut-être que tu ne m’aimais pas assez pour ça.
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